Un chouya, sans aucun doute. Mais il faut leur (me) pardonner. Voir défiler tous ces trésors à longueur de journée, ça monte au cerveau.
C’est au tour de Vanessa Naudin de nous faire don d’un instantané de ses pieds (et même que c’est son amoureux Florian Denicourt qui a fait la photo) (han lala c’est beau l’amur).
Même stratégie qu’Emily sur ce coup-là. On invoque l’esprit du luxe pour pas se faire emmerder (je mettrai 1 euro dans la tirelire à gros-mots) quand apparaît la canicule. Oui, parce qu’une rédactrice en Birkenstock ou en claquette de plage, c’est comme, euh, passer un camembert aux US : c’est interdit. Et pourtant faut bien vivre ma brave dame. Alors se faire parrainer par un grand nom de la mode, Saint laurent, voyez le Y, c’est s’assurer un quotidien « bien-être » (genre Narta, je suis fraîche et ça se voit) et en même temps c’est gage de chic.
Et ça sert à ça aussi des fois le luxe, à pas se faire emmerder (1 euro).
Du coup, peut-on vraiment, vraiment, parler de snobisme ?
non, non, non … pas du tout snob.
j’adore…
[…] Caroline, Emily et Vanessa, voici que nous pénétrons toujours plus dans l’intimité de la Haute Shoesesquerie […]