La crème de la crème

C’est le florilège du Docteur Shooooes, la farandole des desserts de la chaussure, tout ce que les soldes ont donné de meilleur pour l’été 2015, tout ce que les démarques ont sacrifié pour que les prix les plus bas éclosent sur les modèles les plus fous. Prenez-en pleins les mirettes, et vous finirez peut-être l’été avec une paire de tatanes de luxe aux pieds.

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Friandise d'été

Vous avez déjà tout ? Des sandales plates noires ou dorées pour voir filer l’été, des runnings pour courir le matin tôt (mouarf), des tongs ou des Birk’ ça-dépend-de-la-team-dont-vous-faites-partie, des slip-on pour le voyage, des espadrilles parce que, quand même, ça veut dire les vacances… Alors essayez ça : la paire qui va emballer tout le monde, celle qui fera de vous l’héroïne du moment, qui sera parfaite pour les cérémonies comme pour aller bosser ou faire la belle dans les soirées after-plage. Le bonbon sucré qui dit de vous : elle est folle mais elle a merveilleusement raison d’être culottée, car c’est ça qui est bon.

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J'ai piscine

Vous en aviez entendu parler depuis quelques temps : la claquette de piscine est à nouveau légale. Légale à la plage, cela va sans dire, mais plus surprenant, en ville également. Le dosage en style étant très fort, difficile à combiner, frôlant les risques d’overstyle, l’officialisation de cette nouvelle tendance pousse le docteur et son équipe, constituée de la douce et fabuleuse Tiphaine Menon, à vous dresser une prescription très spéciale avec les modèles autorisés par le Grand Ordre de la shooooes.

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Jouer son image aux dés.

  Avant, on jouait un peu son image aux dés. Posant le temps d’un instant avec l’espoir un peu fou qu’on serait beau sur la photo. Les photogéniques étant les borgnes au royaume des aveugles. Aujourd’hui, avec les réseaux sociaux, et ça ne cesse de me perturber, me titiller les méninges, m’exaspérer, on ne dit…
C’est pas fini !


5 indispensables d’été à acheter en soldes

Le mood en ce moment ? Le plaisir par les couleurs. On pousse même le bouchon jusqu’à enguirlander sa garde-robe, avec le doigt pointé en l’air : « j’en ai marre de faire la police des couleurs, vous allez vous entendre entre vous maintenant, c’est compris ? Parce que c’est non négociable! « . Exactement de la même manière…
C’est pas fini !



Liberté de compensée

Fleurs psychédéliques, rayures transat, bobine Art Déco, estampe japonaise, tapisserie girly, paille rétro, liège animal et ananas survoltés, ce qu’il y a de bien avec les sandales compensées, c’est qu’on a la place pour s’exprimer. Et si on s’achetait un marqueur pour les rendre tout à fait unique ? (et avec les prix soldés) (ouais madame!)

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Le moi du dessus, le moi du dessous

J’ai fait une découverte phénoménale (et elle tombe la semaine des soldes)(dingue). J’ai découvert que la guerre entre mon moi du dessus et mon moi du dessous n’avait plus lieu. Qu’il suffisait de considérer les deux avec la même attention pour être heureuse. Ainsi en matière de chaussures, cela se matérialise par un dédoublement de mes aptitudes de…
C’est pas fini !



Au Socqu'ours

Dernière ligne pas très droite avant la quille ? Si je peux vous parler dans le creux de l’oreille, je vous dirais de vous procurer une paire de ces merveilleuses sandales que vous voyez, là, à côté. Ces deux bandes qui enveloppent le pied comme un petit rôti mignon tout plein, cette semelle de gomme bien grasse qui vous porte un poil plus haut que ce que vous a offert le Grand Ordonnateur à la naissance, la douceur du cuir couleur de chair sur la semelle, la rayure pour mettre un trait à toutes les cochoncetés de l’année. Cliquez votre mulot pour voir le reste.

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S’habiller comme si on allait mourir demain.

  Je vous choque ? J’ai le sens du drame, je l’avoue. C’est ma manière de vibrer, c’est mon amphétamine (je voulais être metteur en scène de théâtre, je vous le rappelle). Mais ce n’est jamais pour pédaler dans le vide, attendez de voir. Pendant des années, j’ai traité mon vestiaire comme le faisait ma mère : sans…
C’est pas fini !



Sur la paille

Voilà, voilà. Cette tendance de la semaine en est la preuve, les espadrilles ont versé du côté luxe de la force et se déclinent chicissimes pour les dames des villes. Plus elles seront sophistiquées, plus elles seront contentes. Après les runnings, la tendance du casual qui s’acoquine avec les codes de la couture tourne son regard vers les essentiels de la plage. Comme les baskets qu’on ne porte pas pour courir, les espachics sont à porter avec une tenue urbaine et classe of course.

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Le syndrome de l’imposteur.

Ah je suis sûre que vous le connaissez bien celui-là. Il vient marcher sur les plate-bandes de notre liberté de désirer, de vivre, d’entreprendre, de rêver et d’agir. Il adore nous donner une petite claque derrière la tête dès qu’on cherche à sortir de nos sentiers battus. Et peu importe la dimension du sujet. L’autre jour…
C’est pas fini !


 
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