Ces chaussures qu’on oublie.

miumiu

Dans la catégorie des problèmes à haute intensité shoesesque, il y celui qui consiste à accumuler un trop plein de souliers. (non ce n’est pas QUE un problème de riches) (et puis, et alors ?) (on peut parler de choses superficielles sans être houspillé ?!) (roooo, elle m’embête cette fille dans mon cerveau) (d’ailleurs, c’est exactement pour cela qu’on oublie ses chaussures, c’est parce qu’on est trop de monde là-dedans à penser tout le temps à ce qu’il faut faire dans la vie)

Bref.

(comment voulez-vous que je me concentre 5 minutes, si on me parle tout le temps, bon sang)

Bon.

Alors. L’autre jour, je déjeunais avec ma copine Ophélie. Elle avait aux pieds ces incroyables escarpins Miu Miu millésime, pfiou, genre 2003. Pas pris une ride les coquines. La forme est parfaite, un talon haut et sexy, une tige un peu pointue mais décolletée quand même. Parce que le problème avec les chaussures de plus de 10-15 ans, c’est l’échancrure au niveau des doigts de pieds. Si le décolleté remonte un peu trop au-dessus des orteils, c’est fichu. C’est l’histoire bien connu du petit détail rageant qui gâche le recyclage d’un vêtement ou d’une chaussure.

Donc, je lui dis, à Ophélie « haaaan wouaaaah canoooon tes pompes » et elle me répond « ah ouaiiiiiis tu trouuuuuuves? » et moi, « mais graaaaaaave, mais je me souviens troooooop bien de ces pooooompes ! » et elle, « mais ouiiiii, elles étaient dans une boîte au fond, je les avais oubliées ». Et ça c’était juste après qu’on ait passé 20 minutes de conversation sur l’épineux problème du rangement (franchement, je vais prendre le problème en main, je vais créer une catégorie et aller chez les copines-shoesistas piquer leurs tips pour bien ranger).

Ophélie avait oublié ces chaussures pendant des années. En fait, je pense secrètement que c’est l’instinct naturel de la shoesista de faire vieillir la shoes comme un bon vin. Une sorte d’oubli assumé. Car, avec ces années en plus, la rareté s’installe et les arômes de la pompe éclatent sur toute la silhouette. Déjà, cet incroyable logo Miu Miu. L’un des plus beaux selon moi, vestige d’une époque où le logo était encore en odeur de sainteté sur les accessoires. Quant à la forme, elle est maintenant digérée est devient un basique parfait. Il y a 10 ans, ce bout, ce talon, tout çà était un peu trop fort, très Miu Miu quoi. Aujourd’hui, c’est… jalousant. Mais introuvable. Ophélie a sa paire quasi unique et pourtant siglée d’une des marques les plus désirables au monde. Un tour de force.

C’est exactement la conversation que j’avais hier avec la directrice artistique de theoutnet.com, le site appartenant à net-à-porter.com et qui tient lieu d’outlet (de solderie en quelque sorte). Vous y trouvez des modèles anciens et qui, finalement, peuvent vous permettre d’être un brin unique tout en portant des créations de grands créateurs.

Maintenant, quand vos mecs vont vous demander pourquoi vous stockez des pompes sans les porter, vous pourrez lui rétorquer (comme si c’était une évidence), « parce que je les fais vieillir, mon amour ».



Autant passer tout de suite à l’hiver prochain.

Attendez, je ne fais pas un point météo, je capitalise sur la pluie. Je vois plus loin que le chagrin.

Aujourd’hui, j’ai eu un déclic.

J’ai réalisé et accepté que le rayon printemps de mon placard, et peut-être aussi celui de l’été, resterait à prendre les toiles d’araignées cette saison. Du coup, j’ai relevé la tête, réajusté ma casquette de capitaine Shooooes et proclamé (à l’assemblée de fashionistas imaginaires que j’ai) « point de peine mes conquérantes de la belle shoes, il est temps de tirer notre révérence, cet été ne sied pas aux nu-pieds. Épargnez vos comptes en banques fragiles et entrez de plain-pied dans l’histoire de l’hiver prochain. Assurez votre destin à venir et oposez la victoire à ces temps honnis. En quelques mots, assemblée glorieuse et pleine de courage, libérez le désir de bottines qui siège en vous. » La liesse était grande ce matin après ce discours prononcé avec toute la verve de ma conviction. La conclusion de ce charabia : gardez votre argent et dépensez tout dans une belle paire de bottines. En soldes dans un mois, en boutique mi-juillet pour les premières livraisons.

La bottine talon bottier ( = comprenez, en langage de shoeseur, talon épais et légèrement carré) est, dans toute sa simplicité complexe, l’un des musts de l’hiver 2013. On l’a vu chez Céline. Et quand Phoebe Philo dit un truc dans ses défilés, ya qu’à courber l’échine et accepter l’offrande sans broncher. Alors, les filles, voici le graal.

celine

Gris perle, le bout rond avec un talon épais. La modernité de leur beauté classique vient de l’empeigne qui monte haut sur la cheville et la maintient comme un corset de cuir.

chloe

Et puis, le petit frère du graal. Les Chloé. Toujours l’esprit bottier, cette fois-ci, avec un élastique. (L’apparition de cette forme par deux fois dans les collections fait naître dans l’esprit de la modeuse avertie que quelques chose est en train de se passer côté simplicité) (faut-il y voir la fin de la bottine au compensé sans fin ?)

sartore

Chez Sartore, le style équestre est venu faire un coucou. J’aime bien le détail précieux de la plaque en or sur le talon. C’est 70’s à souhait.

Voilà l’esprit.

Sur la saison d’été, deux bonnes maisons ont dans leur escarcelle des modèles proches du Graal. Et qui seront soldés d’ici un mois. Parfait pour affronter le pluie du mois de juillet.mmm

Les MM6 by Maison Martin Margiela (un nom à coucher dehors, je suis bien d’accord). Elles sont bien parce que gris perle (très important cette couleur l’hiver prochain). 495 euros actuellement.acne

Le modèle d’Acné. Très forte en boots la marque suédoise. Son modèle double zip (un de chaque côté de la malléole) est toujours l’un des bons achats de la décennie. Celui-ci, avec son petit plateau et sa ceinture cavalière se défend très bien aussi. 490 euros actuellement.

Ces deux modèles ont été dénichés sur www.thecorner.com.



Cannes, shoes qui peut !

leaseydoux

Léa Seydoux portant le fameux modèle Lance de Jimmy Choo.

À Cannes, il y le marché du film et celui des robes et de la shoes. Puisque personne ne peut voir les films mais que tout le monde regarde la montée des marches, autant investir dans ces quelques minutes. Cela donne lieu à une vaste guerre thermonucléaire entre toutes les maisons, à celle qui saura réchauffer le Red Carpet à coup de stars portant leurs paillettes. Ces dernières sont donc submergées de propositions (en or ou en cash) pour orner leur courbe de robes, souliers, sacs et bijoux. Des prêts qui, parfois, peuvent mener à des moments gênants. Ainsi, on a vu Julianne Moore sur le Tapis Rouge tout doigts de pied dehors avec des sandales bien trop petites pour elle (édit du 27 mai : l’actrice revient sur « l’affaire » ici). C’était si affreux, comme de voir quelque chose qu’on ne devrait pas voir. Comme une jupe prise dans un sac et qui découvre toute la culotte et le derrière qu’elle contient. Comme le relevait justement une amie, n’a-t-elle pas, nom d’une shoes, les moyens de s’acheter une paire plutôt que de s’en faire prêter une qui ne lui va pas ?

Bref.

Je vous entends marmonner là. Non, ne soyez pas médisant, tout ne se monnaie pas quand même…

Et notamment, concernant les chaussures, il y a toute une petite installation qui repose sur la chance et le savoir-faire. Tapis dans les suites des grands hôtels, les chausseurs guettent la star. À leur disposition, un stock de modèles estampillés « Red Carpet » ( = comprenez, qui soit assez show off pour ce moment d’exception, et en même temps, assez passe-partout pour s’accommoder de toutes les robes) et ceci, dans les pointures les plus courantes. Toutes les stylistes des stars savent qu’elles peuvent à tout moment faire appel au service des chausseurs. Parfois, elles passent faire un choix de modèles dans la suite mais souvent elles sont obligées de s’en remettre aux bons soins de l’attaché de presse maison (faute de temps), qui doit elle-même assurer si elle veut voir ses souliers dans l’objectif des photographes. L’un de ses chausseurs « roi du festival » est Jimmy Choo (qui vient d’ailleurs d’embaucher Nicole Kidman comme égérie de sa prochaine campagne) (du coup, elle, elle ne porte que du Jimmy Choo) (je l’avoue, c’est tortilloné ces histoires). voyez : kidman

Je suis admirative du travail de l’attaché de presse de Jimmy Choo. Durant 10 jours, elle ne dort pas, ou presque, et sait devancer les désirs des stars. Wouah. Léa Seydoux vient de choisir une robe Valentino en dentelle bleu ciel ? Sans aucune autre information, A. doit en 15 minutes choisir les modèles, les couleurs et les pointures (vous faites un 38, oui mais peut-être que chez Jimmy Choo, vous faites un 37,5 ? Voyez la difficulté ?). Puis, une fois sa sélection prête, se rendre en quelques instants auprès de la star en plein stress pré-Red Carpet. On imagine les séances de désespoirs, de snobisme, de pleurs, de cris auxquelles A. a dû assister durant tous ces festivals… (que j’ai promis juré craché croix de bois de pas raconter) (oui je saiiiiiiis c’est horrible).

Parfois, ça marche, parfois, c’est dans l’eau. C’est le jeu de la guerre.

L’un des modèles « super poulain » de Jimmy Choo, c’est le modèle Lance : on le voit sans cesse sur les actrices. Si je n’avais pas des problèmes à récupérer les images, je pourrais vous en montrer des dizaines. Il est efficace parce que ses lignes sont discrètes ET décoratives à la fois. Les lanières sont présentes sur la jambe et s’y fondent en même temps. Certes, elles ont un côté show off mais pour une de nos avant-premières à venir, c’est bien, non ? (euuh mais j’ai quoi comme avant première au fait ?) (bah rien).freida

Je précise qu’aucun de mes posts, jamais, n’est sponsorisé. J’ai choisi de parler de Jimmy Choo car c’est un véritable acteur du festival.



T’es quoi toi ?

imarant2imarantLa chaussure du dernier défilé Isabel Marant pour l’hiver prochain.

Toutes les tendances un peu « touchy » de la saison prochaine réunies en une seule chaussure :

C’est un camaïeu de blanc, ça se languette de fourrure, c’est compensé, c’est un mix de matières, ça se scratch, ça donne un look mi-sportif-mi-futuroscope,

Ça fait la vaisselle ?

(Ouai. Faut pas venir me chercher des noises ce matin)



De l’inconséquence logique.

cotelac

Au départ, je voulais appeler mon post « qu’est-ce que j’ai acheté comme chaussures, moua, pour le printemps ? », je trouvais ça accrocheur mais pas hyper poétique.

Surtout que je voulais absolument parler de l’inconséquence logique, une notion capitale en matière d’achat.

Avec les chaussures, je cultive l’inconséquence sans conscience. Ou alors, un tout petit peu, pour que cela ne me ruine pas trop l’âme. ( = du vieux dicton, « shoes sans conscience n’est que ruine de l’âme »). Je vénère toute la sainte journée des pompes que je passe de longues heures à glorifier pour notre plaisir commun. J’élève au rang de superstars des modèles, en hurlant « ce sont les chaussures de la saison! » à qui veut l’entendre. Je jure mes grands dieux de la mode que j’achèterai CE modèle la saison prochaine, que j’y mettrai tous les sous qu’il faut (quitte à me priver de tout) mais que CES chaussures sauront combler des années de recherche fièvreuse du  soulier idéal. Puis à deux mètres de la ligne d’arrivée, je me tourne vers un autre objectif. Et j’achète des pompes totalement inconnues auxquelles je n’avais jamais pensé d’une marque complètement pas bankable.

Ainsi, alors que tout Paris et ses boutiques de chaussures me tendaient les bras, je suis allée me choisir ma paire de demi-saison (oui oui MA paire de demi-saison) (vous savez bien que je n’achète pas beaucoup) chez Cotélac ! Une marque de vêtements que j’apprécie comme çà, de loin, mais chez qui je n’ai jamais mis les pieds. Non mais ou va-t-on ma ptite dame.

C’est de la pure inconséquence.

cotelac2

Et pourquoi est-ce quand même logique, me direz-vous ? Regardez bien ce modèle que je viens d’acquérir lors de mon passage à Perpignan (les chaussures sont finaudes, ou sournoises, elles vous attrapent au moment où vous vous y attendez le moins) elles sont grand 1 masculines, grand 2 avec des languettes golf (comme mes Church’s à clous que j’affectionne tant), grand 3 dans une couleur camel qui caresse avec finesse les tenues d’été.

Tout ce que j’aime. Un modèle complètement inconséquent d’une logique implacable.

On va pas se faire des noeuds dans le cerveau hein, en tout cas, elles sont belles et ne demandent qu’un petit 18 degrés celsius pour être portées. Et c’est quand même, nom d’une shoes, pas le bout du monde, non ?



Pas dans le ventre les papillons, sur les…

charlesP…Chaussures.

L’autre jour, ma soeur m’a dit « je trouve que les chaussures plates sont toujours moins belles que les chaussures à talon ». C’est vrai.

Ou pas.

Vaste débat.

Ces mimi slippers trouvés au Bon Marché à Paris prêchent pour la paroisse plate, non ?

Ils sont signés Charles Philip, une marque nouvelle venue de shanghaï.

oué, Shanghaï.

Bah Napoléon l’avait bien dit : « Quand la Chine se shoesera, le monde tremblera ».

150 euros, rens. au 09 52 95 12 97 ou www.charlesphilipshanghai.com



Les plus cholies sandales de la saison ?

mellowSi vous vous ennuyez, que tout ce temps vacant, c’est trop long, voici un modèle de sandales qu’on peut acheter avec de l’argent.

Je l’estampille (depuis que je l’ai vu au show room en octobre dernier) : Top 5 des plus cholies sandales de la saison.

Elles ont un petit air Dolce&Gabbana pas piqué des hannetons, elles ont la facétie de mélanger les imprimés, pile poil ce qu’on aime cette saison (et qu’est si difficile à faire, mon dieu), elles ont un petit talon charmant et pratique, elles vont avec pleins de choses Madame puisqu’elles sauront transcender les jeans bleus, faire virevolter les teintes chamarées des robes printanières et créer une délicate jalousie auprès de vos compatriotes. Et le plus beau, c’est qu’elles s’appellent Nodiz (je vous laisse trouver pourquoi c’est le plus beau).

Oups, on m’appelle pour l’apéro. Je dois y aller en urgence donc. Juste le temps de vous dire qu’elles coûtent 110 euros.

À très vite, et n’oubliez pas, en mai, shoes ce qu’il te plaît !

Edit : J’ai oublié de vous spécifier ce petit détail qui compte, la marque, c’est Mellow Yellow. (sorry, je devais être saoule).



C’est drille les espadrôles ?

espa1

Je ne sais pas ce que j’ai ce matin, tout ripe. J’ai envoyé tout à l’heure un texte en écrivant rédactroce ou lieu de rédactrice. (C’est un message subliminal, vous croyez ?)

Et puis, je ne voulais plus jamais parler de météo, je trouve ça nul, je trouve ça hyper « small talk » (merci Géraldine de m’apprendre des nouveaux concepts). Mais je suis bien OBLIGÉE, quand même, d’y faire allusion pour m’excuser de parler d’espadrilles alors qu’on est au coeur de l’hiver tant c’est absurde et frustrant !

Bref, je recommence depuis le début. Voilà comment mon post prenait son envol avant que tout ripe, voilà, partez :

Ou va se nicher l’esprit du luxe ?

Parfois le grand méchant luxe aime à dévorer les objets les plus menus de notre culture populaire. Il arrive avec ses pattes pleines de pièces d’or et d’argent et prend l’un de nos accessoires de sa grande main au bras long et en fait un It Truc super cher et super chic (comme sur la photo d’ouverture, avec le sac Céline) (c’est l’espadrille en mode Red Carpet). Alors que l’instant d’avant, c’était juste 5 euros forever. Et c’était bon.

Le luxe, c’est aussi l’absurdité. Une des composantes (positive et négative à la fois) de l’espadrille est sa durée de vie éphémère. Quoi que l’on fasse, si on la porte, elle s’use et meurt à la fin de l’été. Puis, on en rachète l’année d’après et c’est un plaisir, c’est un signe que le temps du bonheur est revenu. Mais quand elles sont signées Chanel et que leur prix atteint celui du budget autorisé pour les bottines d’hiver… C’est vraiment du luxe. Le luxe qui dit au temps, je m’en fous de toi, j’achète pour les 10 prochains jours, après on verra si on est toujours vivant. Le luxe c’est rock’n’roll en fait. Waouh. Il doit y avoir une faille dans mon raisonnement, je vous laisse la trouver.

Et maintenant, shopping. Voici ma sélection pour faire partie du cercle fermé des porteurs d’espadrilles branchées.chanel

Pas besoin de vous dire que ça vient de chez Chanel, vous avez déjà repéré les double C. En toile délavé, genre « sont vieilles mes espadrilles ». 250 euros.

eclaireur

La collaboration entre la boutique « dénicheuse de créateurs » L’Éclaireur et le spécialiste des modèles cordus, Castaner. C’est branché, ça se prend un peu au sérieux, pourquoi pas pour une espadrille ? 122 euros, en vente chez l’Éclaireur, donc.flamingos2

C’est assez difficile de résister au travail d’Anne Blum pour Flamingos. La marque d’espadrille que cet agent de chausseurs a créé l’année dernière. La qualité de fabrication est proche d’une vraie paire de chaussures, intérieur en cuir i tout. En vente au Bon Marché, 95 euros.

flamingos1

Du coup, je ne résiste pas à vous montrer une autre paire de Flamingos en cuir tressé. 155 euros.

valpois

Pour finir, c’est un peu l’empereur de l’espadrille de luxe : Valentino. Il nous avait déjà un peu donné mal à la tête l’été dernier avec un modèle en dentelle très fine à porter avec une robe longue. Un truc fou de poésie, de romantisme et de luxe. En toute objectivité, il me semble très difficile de résister à ces pois, qui existent dans pleins de couleurs par-dessus le marché. Écoutez le doux bruit du pur luxe : 320 euros.

valcamo

Et maintenant, le doux bruit christallin (oui avec un H parce qu’on est dans des sphères divines) du pur luxe cristique (de crise d’hystérie) avec ces espadrilles toujours signées Valentino, en cuir, tulle et dentelle à… 450 euros. Vous avez remarqué qu’elles sont dentelle ET camouflage… armmff.

Bien sûr, on peut toujours acheter les modèles basiques (d’ailleurs, mes amis, essayez d’acheter les vraies, celles de la côte Basque et pas les made in Bangladesh hein).

Big P.S. géant :

arsen

Ma copine @Matougriffe vient de me sauter sur le poil parce qu’elle a vu que je faisais les espadrilles aujourd’hui. Elle a repéré ces modèles d’un petit créateur français sur le net, Arsène,  et franchement, je les trouve géniaux, alors miaou Matougriffe. Surtout à 29,90 euros.



Inspiration copiée ou copie inspirée ? #5

stuartzaraokLes spartiates de la sexy attitude de la mort ultime qui tue.

Vues sur les défilés printemps-été 2013 à New York en octobre dernier, elles arrivent à talon plat (les talons aiguilles existent mais je ne réponds de rien les filles) chez Stuart Weitzman à 300 euros et chez Zara à 119 euros.

Pour vous donner une idée de petit genre que ça peut donner, j’ai trouvé une fille qui les portait en mode assez cool, je ne sais pas qui c’est, mais ça le fait, nan ?kate

C’est si beau sur elle, qu’on peut se dire, ouai trop génial je les veux, et puis, la voix à l’intérieur, elle SAIT que c’est pas pour rien que c’est Kate Moss qui fait la campagne. C’est parce que c’est immettable. Point.

Bref, si j’en repère dans la rue, je vous fais un nouveau point SMUT (spartiates de la mort ultime qui tue).


 
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com