Comment j’ai trouvé mes chaussures de mariée ?

Je me marie dans 2 semaines. Je me sens exactement dans l’état de la capture d’écran ci-dessus.

Fébrile.

Je ne m’étais jamais imaginée en mariée. Petite fille, je me disais bien vaguement que ce serait cool de s’épouser au Crillon (qu’est-ce qu’on est ringard quand on est môme)(parce que je ne me marie pas au Crillon hein), mais ce n’est pas un passage de vie dans lequel je me projetais avec des licornes dans les yeux.

J’aime pas les passages obligés, vous savez. (c’est pas pour rien que je suis née par césarienne).

Alors, je ne me voyais pas avec des chaussures blanches aux pieds et pi c’est tout. Il me fallait des tatanes qui me racontent un peu une histoire et me caresse le coeur de symboles rien qu’à moi, rien qu’à nous.

Une collaboration qui tombait à pic pour me faire vibrer les doigts de pied.

Cet atelier Notify au Bon Marché Rive Gauche est une merveille, les personnalisations commencent à partir de 20 euros mais vous pouvez aussi y vider votre compte en banque tant les jeunes équipes de Notify sont douées!

Et puis, pas de snobisme pro-méga-riche : vous pouvez y aller avec vos Converse ou votre paire Eram, pas besoin d’acheter sur place ni de ticket d’entrée à 500 euros!

PS : une pensée émue pour Simone Veil, j’ai réécouté son discours à l’Assemblée Nationale du 26 novembre 1974 : « L’avortement est un drame et le restera toujours ». Merci Simone.



Christian Louboutin: le nude n’est pas forcément rose clair.

Les 7 couleurs de nude par Christian Louboutin (photo Sofia et Mauro)

Les 7 couleurs de nude par Christian Louboutin (photo Sofia et Mauro)

J’avoue, j’utilise le mot nude comme synonyme de rose clair.

Promis, j’arrête. C’est tellement ethnocentré ma parole que j’en ai honte.

En mars 2016, Demna Gvesalia chez Balenciaga s’était pris (et à juste titre) une volée de bois vert  parce seules des mannequins blanches défilaient sur son podium.

La mode s’en était émue. Une saison plus tard, sur le même podium, les peaux étaient plus sombres. Le marketing avait sans doute tapé sur les doigts du créateur. Pas sa conscience.

Faut l’avouer avec tristesse, la mode est raciste, enfin surtout le luxe. Être blanc, c’est trop trop chic quoi.

Le commencement du tout ne serait-il que pâle ?

Bé non bien sûr.

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Alors quand Cricri d’amour lance 7 nuances de cuir couleur nude, nous signalant par là que l’herbe peut être d’un autre vert en face. Ça fait du bien à la diversité cette pluralité. Logique, évident et pourtant encore totalement revendicatif.

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On a du chemin à faire, heureusement qu’on a la semelle rouge et l’ouverture d’esprit de notre Loubout’. Mouah!



Cédric Klapish pour Violet Tomas

Au cabinet, on aime se cultiver si et seulement si, ça cause un peu tatanne.

Les Chaussures Italiennes ou Les bottes Suédoises de Henning Mankell pour la littérature, tous les chaussons fourrés quand il s’agit de gastronomie, Le grand blond avec une chaussure noire en cinéma, Le chat botté ou Cendrillon pour les enfants, les godillots mangas de Jeff Koons, voyez le genre, sinon on ne se déplace pas. D’ailleurs, je vous recommande la lecture de cet article : la chaussure dans l’art. Personnellement, c’est accroché sur mon frigo pour m’imprégner chaque jour de la puissance de la shoes.

Je vous invite donc en avant-première française et quasi mondiale à regarder ce film de Cédric Klapish-the-one-and-only pour le lancement de la marque de chaussures Violet Tomas. Des bottines de toutes les couleurs aux combinaisons multiples, fabriquées en Italie, dessinées par Jérôme Espinos (ancien Ralph Lauren, Céline, Givenchy ou encore Marc Jacobs).

La nouveauté ? Jérôme propose un seul modèle par saison, décliné dans des dizaines de couleurs. Le rêve : une ligne qui nous veut du bien à la silhouette, une hauteur de talon qui nous chérit le quotidien pressé et une démarche à contre-courant de la fast-fashion. Pas de dégueulis de nouveautés à s’intoxiquer, mais juste la perfection d’un modèle qu’on va déguster pour longtemps.

Pour commencer, voici donc Margaux (du nom de sa fille)(le nom de la marque vient de ses autres enfants)(mais comment il va faire pour la suite)(zut il va devoir avouer des trucs à sa femme)(bref)(j’espère qu’il va pas lire).

Au fait :

Le cabinet décline toute responsabilité si vous mourrez d’envie d’en avoir une paire à l’issue du visionnage. (650 € ma bonne dame, en vente aux Galeries Lafayette en juillet et sur leur site)



Bien dans mes pompes #4: Clotilde Dusoulier.

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Clotilde Dusoulier, sur son balcon à Montmartre.

Comment font les autres pour être heureux ?

Une question que je me pose souvent. J’ai décidé d’aller demander à des gens biens, créatifs, entrepreneurs et plein d’énergie de nous refiler leurs tuyaux.

Clotilde Dusoulier (je vous jure que j’ai pas fait exprès), c’est quelqu’un qui nous veut du bien. Et les gens comme ça, faut les chérir. L’amusant entre nous deux, c’est qu’on était dans le même collège et que maintenant, par hasard, nos fistons sont dans la même classe. Clotilde est auteure culinaire et possède un blog Chocolate & Zucchini depuis 14 ans. Comme elle aime toutes sortes de nourritures, elle a lancé fin avril un podcast merveilleux sur le développement personnel intitulé « Change ma vie, des outils pour l’esprit ». Comment être heureux, comment se débarrasser de ses pensées négatives, comment méditer, le tout pour les gens normaux. Depuis peu, elle développe également une activité de coaching et d’accompagnement personnalisé. Découvrez la singularité de son point de vue sur la vie et laissez-vous inspirer.

Dans quel état d’esprit démarres-tu ta journée ?

Je m’occupe de mes fils de 5 et 3 ans en essayant de nous préparer dans l’efficacité et la bonne humeur. Je m’efforce de passer du temps de qualité avec eux dans le court moment que l’on a ensemble. Par exemple, je m’assois 5 minutes avec eux pendant qu’ils mangent leurs céréales plutôt que d’être dans la salle de bain. Ou je leur lis une histoire si on est en avance. J’essaie vraiment d’être présente au maximum et de ne pas déjà me projeter dans le reste de ma journée. Je n’y arrive pas toujours !

Quel est ton remède quand tu n’as pas envie d’aller travailler ?

Je dois dire que j’adore mon travail et que c’est ma passion n°1 dans la vie. Ceci étant dit, je m’exerce à rendre mon quotidien de boulot le plus agréable possible. Je suis de plus en plus sensible à la notion d’alignement.

Avant de rentrer dans un segment de ta vie – nous avons beaucoup de casquette ou de rôles et donc de « segments de vie » dans une journée – il s’agit de prendre un temps pour se mettre « en alignement » avec notre objectif ou notre intention. On se crée un sas pour se projeter dans ce segment et se demander ce qu’on a envie d’en obtenir. Par exemple, dans le cas de l’écriture d’un billet de blog, si mon objectif est de transmettre à mes lecteurs à quel point une recette est géniale et comme ils vont être heureux de l’adopter, je dois me sentir enthousiasmée par mon sujet. Pour m’aligner, je vais prendre un petit moment afin de me mettre dans cette énergie-là. Dans le cas où ce sont des activités déplaisantes (comme quand je dois faire ma compta!), je réfléchis à l’émotion finale : je me sentirai bien, j’aurai l’impression que les choses sont en ordre, un peu comme quand on a fait le ménage et que tout est étincelant ensuite.

Si tu rentres dans un segment avec une énergie négative (en te répétant sans cesse à quel point c’est chiant), ton esprit va essayer de s’échapper sans cesse (en traînant sur les réseaux sociaux par exemple!). Tu risques de mettre 3 heures à faire quelque chose qui en mettrait 45 minutes si tu étais plus focus. L’idée est de ne plus subir mais d’être au volant et même, d’apprécier la route en étant 1000 fois plus efficace.

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Le cahier de récompenses de Clotilde, avec des stickers collés quand l’objectif est atteint! Elle pratique le concept de « gamification ». Comment rendre ludique une chose pénible, comment retourner de manière positive une situation difficile.

Comment faire quand on se sent bloqué dans le négatif ?

Tu as 1 million de façon de regarder la réalité. Tout est dans le cadrage. Le problème, c’est qu’on a l’impression qu’il n’y en a qu’un seul de vrai : le réalisme pessimiste. C’est un véritable conditionnement culturel. En France, il est adopté par la plupart des gens. À tel point que lorsqu’on essaie de recadrer les choses de manière plus positive, on va se dire qu’on se ment à soi-même ou qu’on se leurre. Alors que le cadrage réalisme-pessimiste est tout aussi faux On peut tout à fait choisir d’être réaliste-optimiste ou idéaliste-optimiste: il suffit de s’attacher à des preuves et indices de la vie qui vont dans ce sens-là. Le cadrage fait partie de nos libertés. On peut choisir celui qu’on veut. On n’a de comptes à rendre à personne. Et ce n’est pas juste de l’auto-conditionnement façon méthode Coué, c’est grâce à la plasticité du cerveau. Les scientifiques ont beaucoup progressé dans ce domaine ces dernières années. Si on questionne le cerveau en lui demandant « comment rendre cette tâche amusante ?», il va proposer des choses! Il faut l’habituer peu à peu à adopter ce mécanisme de légèreté. Et surtout ne pas s’inquiéter quand on retombe dans les ornières des vieilles pensées : il suffit de remettre le cerveau dans le chemin que l’on veut. Il a besoin de se muscler, c’est normal.

Que fais-tu pour lutter contre le stress ?

M’écrire à moi-même. Sortir de ma tête ce qui ne va pas. Au fil des phrases, je vois les choses plus clairement et je suis capable d’adopter une nouvelle perspective. Je fais également un exercice dont je parle dans le podcast qui consiste à écrire pendant 5 min mes pensées avant de me mettre au travail le matin. C’est comme un petit bilan dans lequel je déverse mes angoisses. Et puis j’ai la méditation, pendant 10 ou 15 minutes, je me mets à l’intérieur de moi-même tous les jours.

Que manges-tu le midi ?

Je mange végétarien ou végétalien. Je me fais des grands bols vegan avec des légumes rôtis ou crus avec une sauce Thaini (beurre de sésame) et des herbes. Je mange devant mon ordinateur en regardant des choses qui m’intéressent. Ce que je ne devrais pas faire puisqu’il faut manger en pleine conscience… (rire). C’est mon cocon.

Que fais-tu quand tu as besoin de te changer les idées ?

Je respire parce que cela ne me vient pas naturellement. J’ai tendance à parler très vite et à me mettre en apnée. J’ai même eu une application sur mon téléphone avec une alarme qui me disait de respirer ! Et quand j’y pense, je fais des séries de respirations profondes comme d’inspirer sur 5 et d’expirer sur 5. Ça me fait beaucoup de bien.

Quel est ton conseil pour mieux s’organiser ?

Je fais du « batch processing ». C’est à dire que je traite les choses en lot. Par exemple, pour le podcast, j’écris 5 épisodes, j’envoie les 5 à l’ingénieur du son, je crée les 5 billets pour le site etc. C’est ultra efficace.

Quel est ton rapport aux informations ?

Je ne me tiens pas spécialement au courant, ou alors par le biais de mon mari. Je suis très sélective sur ce que j’absorbe parce que le cadrage habituel de l’info ne me convient pas. La sélection des informations est une micro lorgnette sur le monde basée surtout sur des informations anxiogènes, dans le but de faire de l’audience. Je n’ai pas envie de me sentir anxieuse. Dans mon travail, je souhaite des bonnes choses et du bien être aux gens, j’essaie de les aider, et c’est mieux si je ne suis pas plombée. Donc je me protège de l’information.

Et les réseaux sociaux, comment vis-tu avec ?

Je partage déjà beaucoup à travers mon blog et mon podcast donc je n’éprouve pas le besoin d’en faire encore plus. J’utilise plutôt les réseaux sociaux pour promouvoir mon travail. Je ne regarde pas beaucoup ce que font les autres. Je vais sur les blogs en cherchant des choses spécifiques sur des sujets qui m’inspirent, qui correspondent à mon intention, mais plus jamais comme une balade.

Et Instagram ?

J’aime beaucoup les Stories car cela reprend l’essence initiale d’Instagram de capter la vie avec spontanéité. Si je vois un truc chouette, j’ai envie de démultiplier mon plaisir en le partageant. Et cette façon de mettre en scène des lieux ou des évènements – sans me prendre la tête – qui vont plaire aux gens est très satisfaisante. Cela me renvoie une image positive de moi-même. Ça me permet d’exister. Je reconnais la dimension narcissique ! Et c’est d’ailleurs la raison pour laquelle j’ai créé mon blog : je voulais prolonger le plaisir de cuisiner en l’offrant à d’autres. C’est du « personal branding » pratiqué avec authenticité.

Quel est ton rapport à l’argent ?
Il est pacifié. J’aborde la question avec une mentalité de jardinière : je plante des graines, j’arrose, je bichonne, je vois ce qui pousse, et je m’efforce d’en tirer des leçons pour la saison d’après. Et mon expérience m’a convaincue que si je me concentre sur la valeur que j’apporte à mes clients, mes lecteurs, mes auditeurs, si je commence par donner beaucoup, ça me revient toujours d’une façon positive — en opportunités, en connexion, ou en espèces sonnantes et trébuchantes. Je ne fais rien juste pour l’argent parce je sais que je ne le ferai pas avec coeur, et que ça ne m’apportera rien de bon au final. C’est un état d’esprit qui m’a réussi jusqu’à présent !

Qu’est-ce qui te complexe chez toi et comment gères-tu cela ?

J’ai un rapport avec la bouffe qui n’est pas apaisé. Quand ça ne va pas, je me focalise là-dessus. Je commence à contrôler la nourriture puis je me pose des milliards de questions sur mon poids. Aujourd’hui, ça va mieux car j’ai réalisé que ce comportement est un symptôme de mes angoisses plus profondes. C’est un signal d’alarme et quand je sens que je recommence à focaliser sur la nourriture, je me pose la question de ce qui ne va pas. Sinon, je n’aime pas mes dents ! Et je fais beaucoup de rêves et de cauchemars autour de ça !

Qu’est-ce que tu aimes chez toi ?

Mon sourire et mes yeux ! Pas forcément pour leur aspect esthétique mais parce qu’ils sont les vecteurs de l’énergie positive que je cherche à partager avec les autres. J’ai plaisir à tirer les gens vers le haut, plaisir à dégager quelque chose de positif, à sourire aux autres, à dire des choses agréables… Par exemple, de glisser à une femme qui semble « insecure » sur son physique alors qu’elle est toute pomponnée « vous êtes magnifique ». Ce sont des petits cadeaux.

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Les bottines Ysazu de Clotilde, le chausseur préféré des Montmartroises!

As-tu des chaussures ou des vêtements « doudou » ?

J’ai deux paires de bottines Ysazu. Une paire bi-goût en cuir et daim, usée jusqu’à la corde. Et une autre avec un liséré jaune sur la semelle et un petit nœud à l’arrière sur le talon d’Achille. D’ailleurs, c’est intéressant de mettre un noeud sur son talon d’Achille pour attirer l’attention dessus, non ?

Comment gères-tu les contrariétés au quotidien ?

Avec toutes ces pratiques, je suis beaucoup plus forte. Si je viens de me disputer, si j’ai reçu une mauvaise nouvelle, que quelqu’un m’a mal parlée, je sais que ma vie n’est pas en danger. Il y a des émotions qui circulent dans mon corps et je sais qu’elles vont passer. Pas besoin de s’inquiéter. Au contraire je les observe avec curiosité : « tiens, cette personne vient de me dire telle chose et cela provoque ça en moi, qu’est-ce que cela veut dire ? ». Il s’agit de construire petit à petit une complicité et une tendresse envers soi-même. Il vaut mieux observer son fonctionnement intérieur avec bienveillance plutôt que de passer sa journée à s’engueuler soi-même. « Comment ça se fait que je pense ça ?! Et pourquoi je ne lui ai pas répondu ça ?! ». Soyons le premier soutien de nous-même, on joue dans la même équipe !

Qu’est-ce qui te rend le plus heureuse ?

Mon mari ! J’ai failli dire mes enfants, mais je dois reconnaître que c’est lui mon pilier.

Retrouvez Clotilde sur son podcast « Change ma vie », des petites séquences d’une dizaine de minutes qui vont vous ouvrir de merveilleux horizons (testède and approvède).



Amélie Pichard en hommage à Twin Peaks

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Mon coup de coeur du mois de juin (et on est le 1er, voyez ma vie).

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Les escarpins d’Amélie Pichard (notre chouchoute internashionole, autant pour ce qu’elle a à dire sur la vie, les shoes, le meufisme que pour ses pompes délirantes) qu’elle a créés en hommage à Twin Peaks. The série de la mort qui tue de David Lynch, peut-être la mère de toutes les séries (mais on ne va pas énerver les nerveux de l’histoire des séries), dont la troisième et complètement inattendue nouvelle saison (en même temps, à la fin de la deuxième, on nous disait « à dans 25 ans ») sort en ce moment sur Canal +.

Une série dont l’esthétique « late 80’s/ early 90’s » a frappé les esprits. Ainsi que le minois de Kyle MacLachlan (j’avoue j’ai été un peu amoureuse quand j’ai revu la série il y a quelques années)(mais je tombe facilement amoureuse, avant c’était Jude Law et encore avant Joe McIntyre des NKOTB).

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Une série dont la fameuse scène avec les rideaux rouges et le sol en damier noir et blanc s’est incrusté dans nos rétines. Autant que sur les escarpins d’Amélie.

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Bon, mais vous allez me dire. On n’achète pas des chaussures juste parce qu’elles font référence à un truc qu’on aime non ? Si t’aimais les pigeons, tu mettrais des chaussures pigeons ? (oui oui j’ai vu la photo qui a circulé sur les internets)(on me l’a envoyée 4 fois dans le weekend)(j’adore les bêtes mais quelle horreur mon dieu).

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Non. On achète des pompes parce qu’à un instant T de la vie, quand les étoiles s’alignent et que le coeur bat à l’unisson, on tombe sur des tatanes qui ont tout pour elles. Qui ont tout ce qu’on voulait au fond sans vraiment le dire parce qu’on croit toujours que ce qu’on a au fond faut pas y faire attention alors que c’est la prunelle de nous-même et qu’il faut au contraire n’écouter que ça. Ouf. Développement personnel quand tu nous tiens.

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Bref, ces pompes, je les voudrais parce que :

1/ Ce sont des escarpins avec un petit talon pas trop fin, donc confortable et pas trop fragile. Le tout est facile à porter pour le everyday de notre quotidien.

2/ Elles ont la forme un brin emboîtante que maintenant c’est la nouvelle mode qui va devenir incontournable (à bon entendeur) (et merci pour notre algus-vallus-mallus-bidulus-chai-pas-quoi, qui n’en pouvait plus d’être tranché par des chaussures trop échancrées)

3/ Elles sont rouges ma brave dame, que demander de plus ? Cela devrait être un basique de toute garde-robe parce que ça vous emballe un look en un claquement de lèvres.

Le prix est chérot, 445 euros, enfin, elles ont une certaine valeur, c’est pas qu’elles soient vendues trop chères (les jeunes créateurs comme Amélie ont la marge la plus juste qui soit)(contrairement aux chaînes qui vous vendent un produit qui vaut bien moins que ce que vous le payez en réalité).

Du coup, on ne va pas toutes se précipiter (à commencer par moi, je me marie bon dieu), mais si je devais vous conseiller.

Bah voilà.

(et bonne fin de semaine entre parenthèse).


 
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