Libérée de tous soucis, livrée corps et âme à l’écriture d’un coriace article, j’étais bien. Puis, mon esprit a dit : « Siouplé m’me Mathilde, est-ce que, siouplé, on pourrait-i pas faire une micro pause ? » Silence. Doigts qui tapent sur le clavier. « Siouplé, on vous supplie, on est sûre m’me Mathilde qu’on repartira ENCORE plus fort de…
C’est pas fini !