Depuis la fin de sa romance en Vogue, Carine Roitfeld n’a jamais été aussi adulée. On la voit partout, en couverture du ID, derrière la campagne Chanel, en vedette d’un livre (Irreverent, hier soir chez Colette), le tout saupoudré de rébellion, de liberté, de vent qui souffle dans les cheveux, d’un f*** le system j’en-sors-grandi. D’un truc ultra glam’ et kiffant, en somme.
Parmi toutes ses couronnes, il y a celle de Sergio Rossi. Le créateur italien lui a confectionné un modèle sur-mesure qui lui ressemble. La belle aime le kaki, le python, les sandales et les talons? Voilà.
Avec la dédicace sur la semelle intérieure. On en bave, hein…
Et que fait Carine? Elle les porte tous les jours pendant la Fashion Week.
Parce-que le concept de Carine, c’est de remettre plusieurs fois ses vêtements (incroyyyyaaaaable, mais comment fait-elle, vous entends-je hurler). Aux antipodes d’une Anna Dello Russo, qui fait le spectacle mais qui est un peu flippante, quand même.
Et c’est tellement rafraîchissant, et normal, et rassurant parce qu’elle fait comme nous, qu’elle ne semble pas dans une course effrénée (et vaine?) vers la possession, le look, le control freak. Elle semble proche et humaine.
Comme ces sandales, elles semblent proches et humaines, non?
Allez! Kiss!